Principal enseignement : 38% des habitants des zones urbaines sensibles (devenues depuis le 1er janvier 2015, « quartiers prioritaires de la politique de la ville ») ressentent de l’insécurité dans leur quartier, contre 10% des personnes résidant dans une commune qui n’est pas située en géographie prioritaire.
Source : ONDRP
Publication : La note de l’ONDRP, n°4
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Date : février 2016